L'hypnose pour arrêter de fumer à Rennes
- Vous voulez vous débarrasser du tabac ?
Plusieurs méthodes ont échoué, et vous cherchez une solution efficace pour vous affranchir de la cigarette ?
- Vous avez pris la décision de vous libérer du tabac mais c’est difficile.
- Vous vous sentez coupable de fumer, inquiet.e pour votre santé ?
Briser l'illusion du besoin : Comprendre votre dépendance à la cigarette grâce à l'hypnose
Pourquoi l'arrêt du tabac est un défi ? Les mécanismes cachés de la dépendance
La dépendance tabagique s’installe insidieusement chez tous les fumeurs par des mécanismes neurobiologiques et psychologiques subtils. Ces processus inconscients créent une illusion de besoin, un circuit de récompense qui piège l’individu.
Les difficultés rencontrées lors du sevrage sont fréquemment ancrées dans des représentations mentales négatives et des anticipations anxieuses :
La crainte du syndrome de manque physique et psychologique.
L’appréhension d’une prise de poids métabolique ou compensatoire.
Le sentiment de perte hédonique, la privation d’une source perçue de plaisir ou de réconfort.
L’inquiétude face à une gestion émotionnelle altérée et une vulnérabilité accrue au stress.
La peur irrationnelle d’un traumatisme psychologique lié à l’arrêt.
Ces appréhensions, souvent rationalisées par des stratégies d’évitement, masquent une réalité fondamentale : la dépendance au tabac est principalement d’ordre psychologique. Seule une intervention ciblée sur l’inconscient peut durablement perturber cette addiction et induire des changements comportementaux profonds.
L’hypnose thérapeutique, par son action sur les processus cognitifs et émotionnels inconscients, offre une voie efficace pour se libérer définitivement de cette emprise en quelques séances.
Un nouveau protocole pour vous accompagner…
semaines d’accompagnement
consultations
séances d’hypnose
Ajouté à cela vous disposerez de 6 enregistrements, des topos sur le tabac, des explications sur ce qui se passe dans votre corps et dans votre tête.
- 30% de fumeurs de tabac au quotidien
4 millions de décès chaque année dans le monde à cause du tabac (1ère cause de mort évitable)
la France compte encore près de 15 millions de fumeurs quotidiens et occasionnels
la consommation de tabac reste la première cause de mortalité
évitable en France. 75 000 décès par an (chiffre de 2015, qui reste une référence).Chiffres pour la Bretagne : L’Agence Régionale de Santé (ARS) Bretagne indiquait en 2013 environ 5 200 décès annuels attribuables au tabac pour l’ensemble de la région. Rennes étant la plus grande ville de Bretagne et concentrant une part importante de la population, elle contribue significativement à ce chiffre régional
la fumée de cigarette recèle jusqu’à 7 000 composés chimiques, dont au moins 70 sont cancérigènes
Tabagisme : les chiffres alarmants que vous devez connaître
Petits calculs par rapport à votre consommation :
Quel budget pourriez-vous libérer en arrêtant de fumer ? Faisons le calcul : un fumeur de tabac blond consommant 20 cigarettes par jour à 0,50 € l’unité (paquet à 10 €) dépense chaque année 3 650 €, soit l’équivalent de 300 € par mois. Même en optant pour le tabac à rouler (0,30 € la cigarette pour un paquet de 30g à 15 €), la facture annuelle pour 20 cigarettes quotidiennes atteint 2 190 €, soit 180 € par mois. Un arrêt du tabac, c’est une économie substantielle à envisager !
Fumer n'est pas une faiblesse : libérez-vous de la culpabilité, comprenez l'addiction
Contrairement à une opinion répandue, l’addiction au tabac ne résulte pas d’un simple manque de volonté ou d’une faiblesse de caractère. Il s’agit d’un phénomène complexe où des substances psychoactives, présentes dans la fumée de cigarette (notamment la nicotine), exercent une action puissante sur le système nerveux central et le cerveau.
Au niveau neurobiologique, la nicotine se fixe sur des récepteurs spécifiques, stimulant la libération de neurotransmetteurs comme la dopamine, un acteur clé du circuit de la récompense. Cette activation procure une sensation de plaisir et de bien-être, renforçant l’envie de consommer à nouveau la substance. Avec une consommation répétée, le cerveau s’adapte à cette stimulation artificielle, entraînant une dépendance physique (le corps réclame sa dose pour éviter le syndrome de manque) et une dépendance psychologique (l’envie irrépressible de fumer dans certaines situations ou face à certaines émotions).
Cette interaction biochimique perturbe profondément les mécanismes naturels de régulation du plaisir et de la motivation dans le cerveau. L’individu développe une tolérance à la nicotine, nécessitant des doses plus importantes pour ressentir les mêmes effets. La perte de contrôle face au comportement de consommation devient alors une caractéristique marquante de l’addiction.
Il est crucial de comprendre que l’addiction au tabac est reconnue comme une maladie neurologique chronique par les classifications médicales internationales. Elle nécessite donc une approche thérapeutique adaptée, au même titre que d’autres pathologies.
De plus, l’installation de l’addiction s’inscrit dans une histoire de vie unique pour chaque individu. Des facteurs psychologiques, sociaux, environnementaux et émotionnels se tissent autour de la consommation de tabac, créant des associations et des habitudes profondément ancrées. Ces éléments doivent également être pris en compte dans une démarche d’arrêt réussie, comme celle proposée par l’hypnose thérapeutique.
Dépendance ou Addiction ?
La dépendance s’installe à la suite d’une consommation régulière de substances psychoactives, comme la nicotine présente dans le tabac. Cette consommation chronique provoque un déséquilibre au niveau neurobiologique. Le cerveau s’adapte à la présence constante de la substance, modifiant la production et la sensibilité de certains neurotransmetteurs, notamment ceux impliqués dans le circuit de la récompense et la régulation de l’humeur.
Ce déséquilibre neurobiologique est la cause principale de l’envie impérieuse de consommer à nouveau la substance. Cette envie n’est plus seulement liée à la recherche du plaisir initial, mais devient une nécessité pour éviter les effets désagréables du sevrage qui apparaissent lorsque la concentration de la substance diminue dans l’organisme. Ces symptômes de sevrage peuvent être physiques (irritabilité, troubles du sommeil, maux de tête, etc.) et psychologiques (anxiété, tristesse, difficultés de concentration).
Dans cet état de dépendance, l’objectif de la consommation n’est plus d’atteindre un état de bien-être supérieur, mais simplement de retrouver un état de fonctionnement perçu comme normal par l’organisme habitué à la présence de la substance. L’absence de la substance psychoactive perturbe cet équilibre artificiellement créé, engendrant le besoin de consommer pour le rétablir temporairement.
Il est important de noter que ce mécanisme de dépendance ne s’applique pas uniquement aux drogues dures. Des substances psychoactives plus « douces » et socialement acceptées, comme la nicotine, le sucre, le sel ou même la caféine, peuvent également entraîner une dépendance en agissant sur les mêmes circuits neurobiologiques. L’intensité de la dépendance et la gravité du sevrage peuvent varier considérablement en fonction de la substance et de l’individu, mais le principe fondamental du déséquilibre et du besoin de consommer pour éviter le manque reste le même. Comprendre ce mécanisme est une étape cruciale pour envisager un arrêt du tabac réussi.
L’addiction se distingue de la simple dépendance par une caractéristique fondamentale : l’incapacité compulsive de l’individu à s’empêcher de consommer une substance ou de s’engager dans un comportement, et ce, malgré la pleine conscience des conséquences négatives qui en résultent sur sa santé, ses relations, ses finances ou sa vie professionnelle.
Au-delà du déséquilibre neurobiologique induit par la consommation répétée (comme dans la dépendance), l’addiction implique une vulnérabilité accrue de l’individu face aux signaux de plaisir émis par certains neurotransmetteurs dans le cerveau, en particulier la dopamine. Cette vulnérabilité peut avoir des bases génétiques, psychologiques ou environnementales.
L’exposition à la substance ou à l’activité addictive provoque une libération intense de dopamine dans les circuits cérébraux de la récompense, créant une sensation de plaisir intense et immédiat. Ce plaisir est si puissant qu’il court-circuite les mécanismes naturels de contrôle et de prise de décision rationnelle. Progressivement, le cerveau associe la substance ou l’activité à cette récompense, créant des associations cognitives et émotionnelles fortes qui alimentent le désir compulsif.
L’addiction se manifeste par des comportements compulsifs, incontrôlés et souvent irraisonnés. L’individu est pris dans un cycle de recherche et de consommation, même lorsqu’il souhaite sincèrement arrêter et qu’il est conscient des dommages causés. Cette perte de contrôle est une marque distinctive de l’addiction.
Il est crucial de comprendre que l’addiction ne se limite pas à la consommation de substances comme le tabac, l’alcool ou les drogues. Elle peut également s’appliquer à des activités potentiellement gratifiantes mais pratiquées de manière excessive et incontrôlée, telles que le jeu pathologique, l’hypersexualité, l’exercice physique excessif, le shopping compulsif ou l’usage problématique d’internet et des réseaux sociaux. Dans ces cas, ce sont les mécanismes de récompense naturels du cerveau qui sont détournés et amplifiés.
Pour une personne à Rennes luttant contre l’addiction au tabac ou à d’autres comportements, il est essentiel de reconnaître la complexité de ce phénomène, qui dépasse la simple volonté. Une approche thérapeutique globale, intégrant des aspects psychologiques, comportementaux et parfois pharmacologiques, est souvent nécessaire pour un rétablissement durable. L’hypnose thérapeutique peut être une composante de cette approche, en aidant à modifier les associations inconscientes et à renforcer le contrôle de soi
En résumé :
On peut dire que la dépendance est une adaptation physiologique et psychologique au manque, tandis que l’addiction est une perte de contrôle comportementale malgré les conséquences négatives. Une personne dépendante peut ne pas être « accro » au sens de perdre le contrôle total. Inversement, une personne accro présente généralement une dépendance, mais la dimension compulsive et la poursuite malgré les dommages sont les éléments clés de l’addiction.
Tabac à rouler : une alternative plus dangereuse qu'il n'y paraît
Contrairement à une idée reçue persistante, fumer du tabac à rouler n’est pas une alternative moins nocive aux cigarettes manufacturées. Les études scientifiques convergent pour estimer sa dangerosité deux à quatre fois supérieure pour la santé.
Cette nocivité accrue s’explique par plusieurs facteurs clés qui modifient la composition et l’inhalation de la fumée :
Concentration accrue de substances toxiques : Une cigarette de tabac à rouler expose le fumeur à une inhalation trois à six fois plus importante de nicotine (la substance addictive), de monoxyde de carbone (un gaz toxique réduisant l’oxygénation du sang) et de goudrons (des particules cancérigènes).
Caractéristiques du papier : Le papier utilisé pour rouler les cigarettes est souvent plus épais et sa combustion incomplète génère une quantité supérieure de goudrons et d’autres composés nocifs.
Tassement du tabac : Le tabac à rouler est généralement moins tassé que celui des cigarettes industrielles, favorisant une combustion plus incomplète et la production de davantage de substances toxiques.
Température de combustion : La température de combustion d’une cigarette roulée tend à être plus élevée, ce qui favorise la formation de produits de pyrolyse plus dangereux.
Comportement du fumeur : Les fumeurs de tabac à rouler ont souvent tendance à prendre des bouffées plus longues et plus profondes, augmentant ainsi l’absorption des substances nocives. De plus, la cigarette roulée s’éteignant plus facilement, les fumeurs sont amenés à la rallumer fréquemment, inhalant à chaque reprise une concentration importante de produits toxiques accumulés lors de l’arrêt de la combustion.
Inefficacité des filtres : L’ajout d’un filtre dans une cigarette roulée peut atténuer une sensation d’irritation de la gorge, mais son impact sur la réduction des teneurs en nicotine et en goudrons absorbées est négligeable.
Les arguments marketing trompeurs : Les fabricants et les vendeurs mettent parfois en avant un caractère plus « naturel », « sans additifs » voire « biologique » du tabac à rouler, suggérant une moindre dangerosité. Cette allégation est scientifiquement infondée. La toxicité intrinsèque de la fumée de tabac est extrêmement élevée, et l’absence de certains additifs n’altère que marginalement ce niveau de dangerosité. L’essentiel des substances nocives et cancérigènes est produit par la combustion du tabac lui-même et du papier.
En conclusion, le passage au tabac à rouler ne constitue en aucun cas une stratégie de réduction des risques pour la santé. Au contraire, il expose potentiellement à une charge toxique plus importante que la consommation de cigarettes industrielles. Pour les fumeurs à Rennes soucieux de leur santé, l’arrêt complet du tabac, avec l’aide de méthodes comme l’hypnose thérapeutique, reste la solution la plus efficace et la plus sûre.